En 2187, dans un laboratoire souterrain à bien Genève, un chercheur en neuro-physique avait porté au point une technologie révolutionnaire : un dispositif en mesure de river la conscience de l'homme en même temps exactement trente-sept secondes. Le corps restait en stase globale, les rôles primordiales ralenties à l’extrême, sur que l’esprit accédait à un état neutre, hors de la temporalité. C’est dans cet intervalle intelligent qu’une voyant en voyance audiotel découvrit l'accession inédit aux silhouette du futur. Ce n’était ni une entendement, ni une approche inspiré, mais une plongée directe dans des clichés pratiques, saisies tels que des éclats d’événements prochaine. La voyant s’était liée à bien un noyau privé équipé du instrument. Ses consultations en voyance en audiotel devenaient originaux : lors où la femme posait sa question, elle se connectait à l’interface, activait le goût suspendu, et entrait dans l’état figé. Trente-sept secondes par la suite, elle revenait avec un contact, une image, un message. Ce fragment, capté au cœur du vide mental, était plus tard donne par téléphone en direct. Le site audiotel qui l’hébergeait enregistrait une regain spectaculaire des connexions. Mais facilement, une signification secondaire apparut. À n'importe quel retour de ce laps d’éternité, levoyant constatait l’oubli d’un détail de personnalité : un dénomination, une penchant, un problème affectif vécue récemment. Ces pertes semblaient mineures, mais elles s’accumulaient. Son présent s’étiolait doucement, effacé par l’intensité des visions futures. La voyance audiotel qu’elle procurait devenait un modèle d’échange : mêler l’avenir, au niveau de prix de fragments du toi. Le site audiotel tentait de rationaliser le phénomène, parlant de saturation cognitive, de désagrément neurologique, mais levoyant savait que l’origine était plus riche. Le avenir, une fois perçu, gravait en elle un style si grande qu’il déplaçait le passé pour reproduire sa place. La voyance en audiotel, dans ce actuel contexte, ne consistait plus uniquement à bien déchiffrer les lignes d’un destin, mais à bien l’absorber en clavier, à bien devenir le passage où s’efface le utilisé. Et nonobstant le danger, les voyances se poursuivaient. Chaque voix, de l’autre côté de la ligne, portait en elle une problématique urgente. Et chaque réponse, délivrée à la suite trente-sept secondes d’éternité, redessinait un pont fragile entre le temps vécu… et le temps entrevu.
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